Selon ce document, Thierry Lepaon n’est pas intervenu dans la commande de ces prestations, n’a pas vu les devis et « a découvert les travaux une fois ceux-ci achevés ».
En outre, l’entreprise avec laquelle la CGT avait l’habitude de travailler aurait surfacturé les travaux.
« La Confédération étudie la façon de recouvrir le trop payé et se réserve la possibilité d’utiliser tous les recours juridiques », a précisé Philippe Martinez devant la commission exécutive confédérale.
« La vérité éclate enfin. Je retrouve mon honneur, ma dignité, le fruit de mes engagements », a réagi dans l’Opinion, à paraître mercredi, l’ancien « patron » de la centrale, qui était resté silencieux depuis son éviction.
« J’ai le sentiment d’avoir été trahi. Des documents internes à la CGT se sont retrouvés dans la presse. Il y avait pourtant d’autres manières de traiter les sujets qui faisaient débat », a-t-il ajouté.
Source Reuters
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/economie-france/social/0216678607-lepaon-blanchi-par-la-cgt-dans-laffaire-de-son-appartement-1111243.php?r2zFiUuUId1XYFLa.99#xtor=RSS37