Avec près de 3.000 ruptures de CDI en moyenne sur les 10 dernières années, le sujet est regardé de près.
D'autant que 2019 aura été la 1ère année durant laquelle l'effectif global de la SG a baissé en France (comme ailleurs).
Ce qui est le plus inquiétant reste que l'"effet de sape" généré par les différents plans de réductions de coûts, d'activités et de postes, est clairement visible sur l'évolution des démissions.
Difficile de croire que l'effet passe inaperçu et qu'il n'est pas voulu. D'autant qu'il ne mesure pas l'aspect qualitatif de ces démissions. Ce qui serait d'autant plus alarmant.
En tout cas pour le Conseil d'Administration, "rien d'anormal" concernant l'évolution des démissions.
Encore un sujet sur lequel il serait intéressant de connaitre la position des 14 candidats en lice pour le poste de représentants des salariés actionnaires.
... plutôt que de s'arrêter aux engagements bienveillants ou aux posts sans goût ni saveur sur LinkedIn pour choisir le futur représentant.